Le Blues Polaire

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Music
Klaas Janzoons, Tom Barman, Alan Gevaert, Stephane Misseghers
Words
Tom Barman
Credits

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Dans le coin, apres un concert

Gaté d’une vista panoramique de gens

En détente post-hysterique, je me relaxe avec nonchalance etudié

Finissant ma vodka redbul

Le rush du sucre et de l’alcohol coincidant avec ton arrivé inattendue

Jaillit du seul petit coin insoupçonné de cette baraque.

Tu te présentes polyglotes

Et tu murmures des parols de science et de psychologie.

Une histoire d’amour ce developpe comme un polaroid parresseux

De dévoiler ces vrais couleurs

Ca vaut le coup, mais c’est enervant

Il est temps que je montre mes dents

A tous ces incidents indécents

A l’abri des tempêtes

Deuxième fois Bucharest, cette fois ci

Sous des étoiles plus étinc’lantes

Mais aussi, Une deuxieme rencontre qui fait monter

Les enchères entre nous deux

Je rigolles en anticipation d’n sandwich qui n’arrivera jamais

Serait il á l’image d’une methaphore insouciante

Qui le sait

Je sais t’as que 27 ans

Mais c’est toi qui m’a aspiré dans

Ton univers d’etérnelle étudiante

Le vortex de ta planète

Ils y’a des dangers qui s’accrochent a moi

Qui me ratrappent oui comme un coup de traque

Ça m’galvanise ça me met dans un état

Oui, j’ai besoin de ça

Ce n’est q’un rêve

Dans la journée

On voit ce qu’on veux

Tout est accompli

Les désirs emporté par le vent

De haut en bas

Je te carresses

Rien de mieux

Que la paresse

Éxécuté concentré et lentement

On fait l’amour comme deux novices débordants d’experiences oubliées

Je me fache quand tu te balances sur le rebord de fenetre

Tu as faillis t’envoler

J’inspectes ma reflection dans l’écran de television de cette chambre

Style faux louis quatorze

A Paris, les nuages se rassemblent.

Les trois ingrédients d’un Negroni bourdonnent comme des gueppes

Dans ma tete rendue folle de desir

Une dernière impulsion vicieuse se dégage de ton sourire

Ce ne sera que plus tard que je me le rappelasse.

Tu sais très bien

Je le cherches tout le temps

Je trouves souvent

Ça donne et puis ça prend

Ça m’galvanize jusque dans l’au de là

Et puis ça va

Contínuer sans toi

La la la

Ça provoque et ça sent le sang

Le blues polaire en double temps

Du passé, et du moment

Pas besoin de remplacer